Noachisme : un rabbin, un iman et un pasteur pour un seul lieu de culte !
L’église-mosquée-synagogue de berlin ou la disparition des anciennes religions.
C’est à Berlin qu’a été lancée cette idée de lieu de culte unique pour les trois religions juive, musulmane et protestante. Il n’est pas question ici de catholique, pas encore.
Il s’agit donc d’un projet de rapprochement entre ces trois cultes que d’aucuns trouveront certainement génial.
« Berlin est la ville des merveilles et des miracles », affirme le rabbin Tovia Ben Chorin, l’un des trois “rêveurs” à avoir imaginé le lieu.
« C’est là que l’extermination des juifs a été programmée. Maintenant, la première maison pour les trois religions dans le monde va être construite ici. »
Pour l’imam qui porte également le projet, Kadir Sanci, cette « Maison de l’Unité » est une manière de rappeler que « la grande majorité des musulmans sont pacifiques et non-violents ». (Sic !)
« C’est aussi un lieu, ajoute-t-il, où des cultures différentes peuvent apprendre l’une de l’autre. »
D’après le The Time of Israel, c’est une « maison de prière et d’enseignement » sur le christianisme, le judaïsme et l’islam. La « Maison de l’Unité » (The House of One) a pour but de refléter les croyances de Berlin tout en aidant les trois communautés à vivre ensemble.
« Nous voulions faire revivre le lieu, pas en fondant une nouvelle église, mais en construisant un endroit qui dise quelque chose de la vie des religions d’aujourd’hui à Berlin » explique à l’AFP le second représentant protestant de ce projet, Roland Stolte. En effet, ils veulent construire cette « Maison de l’Unité » sur les ruines de quatre églises qui ont été retrouvées grâce à des fouilles archéologiques.
Berlin est toujours à l’avant-garde, même quand il s’agit de religion. Chrétiens, juifs et musulmans se sont donc mis d’accord pour construire à la Petriplatz ce lieu de culte appelé « The House of One », sur les ruine de la “Petrikirche” (Église saint Pierre) qui était l’une des églises les plus anciennes de la capitale.
Petrikirche L’Église Saint-Pierre de Berlin en 1850, et les tombes mises au jour en 2008.
L’idée de ce lieu interreligieux a germé en 2009, quand des archéologues ont découvert, sur ce site, les vestiges de la plus ancienne église de Berlin, la “Petrikirche”. L’édifice, qui datait du XIIIe siècle, a été très endommagé à la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque l’Armée rouge a conquis la capitale allemande. Et les restes du bâtiment ont été totalement détruits après la guerre.
C’est donc sur les ruines d’une église catholique que se construira cet édifice.
Tout un symbole !
Berlin, le 3 juin. Le pasteur Gregor Hohberg, le rabbin Tovia Ben-Chorin et l’imam Kader Sanci posent la première pierre de leur projet de lieu de culte commun.
« Nous nous sommes rapidement mis d’accord sur le fait qu’il fallait construire quelque chose de visionnaire sur ce qui était l’un des sites fondateurs de Berlin », raconte Gregor Hohberg, le pasteur protestant à l’origine du projet.
Le 3 juin, le pasteur, l’imam et le rabbin se sont réunis sur le site de leur futur lieu de culte pour poser la première pierre symbolique du bâtiment. Les trois hommes ont annoncé que les travaux pourraient commencer en 2016, si un quart de la somme avait été rassemblé d’ici là. La construction devrait prendre environ 4 années.
L’architecte de la « Maison de l’Unité », Wilfried Kuehn, détaille un peu plus le projet et explique qu’il y aura une orgue dans l’église et des robinets pour les ablutions dans la mosquée. Ni croix, ni minaret, ni étoile de David ne vont être ajoutés à l’édifice. Le but est « de ne pas mélanger les religions, tout en favorisant une reconnaissance mutuelle ».
Un projet talmudique
Ce projet peut en effet apparaitre « merveilleux » aux yeux d’un profane ou d’un franc-maçon mais certainement pas pour un catholique convaincu.
Pourquoi ?
Et bien parce qu’il s’agit d’un nouvel élan dans la concrétisation de ce que nomme Pierre Hillard : le noachisme. Il s’agit en fait comme le décrit Pierre Hillard « d’un projet issu directement du judaïsme talmudique, le noachisme s’applique uniquement aux Gentils (les non-Juifs). Cette religion universelle se subdivise en sept commandements : le premier prescrit l’obligation d’avoir des magistrats (pour faire respecter les lois) tandis que les autres lois interdisent : 2) le sacrilège ; 3) le polythéisme ; 4) l’inceste ; 5) l’homicide et 6) l’usage d’un membre d’un animal vivant.
Tandis que les Gentils sont encadrés par cette religion, le peuple juif régi par le mosaïsme (la loi de Moïse) est considéré comme le peuple prêtre. Ce sacerdoce israélite, constituant le cœur de l’humanité, est l’intermédiaire entre les Gentils et le Dieu unique (le monothéisme). Dans cette pensée, le catholicisme est considéré comme un polythéisme en raison du concept de la Sainte Trinité (idolâtrie ou trithéisme selon les rabbins talmudiques).
Afin de correspondre au schéma du noachisme, la religion catholique doit procéder à une refonte complète rejetant la Sainte Trinité et la divinité du Christ. Cette mutation doit aboutir au « catholicisme d’Israël » selon l’expression du livre du rabbin Elie Benamozegh (« Israël et l’humanité »), ouvrage recensant la pensée talmudique. Comme le précise logiquement l’auteur : « Quiconque abjure l’idolâtrie est un véritable Juif. Quiconque rejette le polythéisme confesse toute la loi. » Dans le prolongement de cet idéal, le judaïsme talmudique reconstruit l’unité de la famille humaine afin de la mener vers un nouveau jardin d’Éden — la perfection étant à la fin — dans l’attente de l’arrivée du Messie. Logiquement, le rabbin Benamozegh précise : « De là cette belle théorie de la Kabbale qui fait de l’union et de la concorde des esprits ici-bas le moyen de réaliser la descente et l’établissement de la divinité sur la terre. »
Cette espérance du bonheur purement terrestre reposant sur l’idée du « Progrès », que nous retrouvons sous des formes variées dans le marxisme et le libéralisme, est en contradiction complète avec le catholicisme. La religion trinitaire, considérant le passage sur terre comme une série d’épreuves et comme un tremplin, a une espérance céleste. Ces deux universalismes sont incompatibles. Cela n’a pas empêché les autorités de l’Église (lire = les autorités de la secte !), depuis Vatican II, d’affirmer dans un ouvrage « Le peuple juif et ses saintes Écritures dans la Bible chrétienne », que « L’attente juive messianique n’est pas vaine » (chapitre II, A5). D’un point de vue catholique, cette affirmation est une hérésie car le Christ est le Messie, passé il y a 2000 ans. Cette contradiction flagrante n’a pas empêché ce livre, paru en 2001, d’avoir comme préfacier… le cardinal Joseph Ratzinger.
Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des États-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. Il semblerait que les choses s’accélèrent. En effet, le 23 septembre 2012, toutes les communautés juives du monde ont appelé, par une courte prière, à l’arrivée du Messie (Mashia’h). Pour les catholiques, cela équivaut à appeler l’antéchrist. Compte tenu de la déliquescence de l’Église (Non ! cette formulation est blasphématoire !) depuis Vatican II, cette prière est comme un appel à une mutation profonde. Il est vrai que le mondialisme est un messianisme pressé. »
Pour plus de détail sur le projet, lire l’article de Slate :
« Le député Karl Holz, rédacteur en chef d’un journal hitlérien – « Der Sturmer » qui paraît à Nuremberg en Bavière – a été acquitté par le tribunal de Nuremberg de l’accusation de diffamation portée contre lui par le Dr Wassermann, un médecin juif local. homme, pour avoir publié un article dans son journal dans lequel le Dr Wassermann était accusé d’avoir laissé un non-juif se vider de son sang parce que le Talmud et le Shulchan Aruch imposent aux juifs le devoir de tuer des chrétiens chaque fois que l’occasion s’en présente , et d’avoir appelé le chrétien C’est pour cette raison que la population ne doit jamais consulter des médecins juifs.
Le tribunal a refusé d’entendre le rabbin Dr Max Eschelbacher (fils du célèbre érudit juif, feu le rabbin Joseph Eschelbacher qui a écrit «Judaïsme et christianisme», un ouvrage remarquable d’apologétique juive, et d’Ernestine Eschelbacher, le «Eishith Chayil» de l’allemand). juif, décédé en juillet dernier), qui a été cité par le procureur comme une autorité en matière de Talmud, jugeant que, étant membre de l’Union centrale des citoyens allemands de foi juive, il était partisan et que son témoignage serait biaisé .
Tout en excluant le rabbin, le tribunal a cependant accepté d’entendre deux experts antisémites, le Dr Erich Bischoff et le professeur Goltsberger, cités par la Défense comme faisant autorité en matière de Talmud, et ils ont déclaré que les enseignements du Talmud et du Shulchan Aruch est en totale contradiction avec la moralité et qu’en plus de ces lois écrites, les Juifs obéissent également à un code secret non écrit qui les engage à pratiquer les abominations les plus bestiales contre les non-Juifs .
Le Dr Bischoff est même allé jusqu’à jurer qu’il existe un commandement qui oblige les Juifs à la pratique du sacrifice humain .
Le député Holz était la figure centrale des agitations meurtrières rituelles de Daube et de Manau en Bavière. C’est son journal, « Der Sturmer », qui a repris en 1928, lorsque l’étudiant Daube a été retrouvé mort, qu’il avait été tué à des fins rituelles par un camarade juif nommé Haussmann , et bien qu’Haussman ait été déclaré non coupable et acquitté. , il a maintenu le cri du meurtre rituel, le répétant à propos de l’affaire Daube il y a quelques mois encore.»
[ Note CFT : Helmut Daube, étudiant en deuxième année d’université, fut massacré dans la nuit du 22 au 23 mars 1928. Au matin, le cadavre exsangue gisait devant la maison de ses parents. (cf. « Le Sturmer »)]
« De la même manière, lorsque le cadavre d’un enfant chrétien fut retrouvé à Manau , en Bavière, celui-ci poussa à nouveau un cri de meurtre rituel, et l’accusation fut même portée au Parlement bavarois par les députés hitlériens. »
[ Note CFT : Le garçon Karl Kessler a été retrouvé massacré et exsangue le 17 mars 1929, à Manau, quelques jours avant Pessah. (cf. « Le Sturmer »)]
« Les hitlériens en ont également parlé au Parlement prussien, où le député [Robert] Ley , un député hitlérien, a déclaré que le pape Sixte IV. avait déclaré que les Juifs tuaient des garçons chrétiens à des fins rituelles [voir Simon de Trente] — et qu’à l’heure actuelle, il existe des sectes hassidim qui utilisent le sang chrétien dans leurs rituels .
Cette accusation a amené certains députés catholiques à se lever pour protester contre la croyance selon laquelle le meurtre rituel est soutenu par l’Église catholique.
En Saxe, un député hitlérien nommé [Hans] Schemm , rédacteur en chef d’un journal appelé « Weckruf », a été envoyé en prison pendant 30 jours pour avoir publié dans son journal l’histoire du meurtre rituel de Daube — et un artiste nommé Braeutigam, qui a fait un dessin imprimé dans le même numéro, montrant un certain nombre de Juifs en train de commettre un meurtre rituel, à l’aide d’une copie du Talmud, a été condamné à une peine similaire.
« Nous avons honte que les Juifs doivent encore se défendre, à cette époque tardive, contre le mensonge du meurtre rituel », a déclaré une conférence des rabbins bavarois dans un communiqué publié à propos des agitations liées au meurtre rituel de Manau et de Daube.
« Nous déclarons solennellement », poursuit la déclaration des rabbins, « que les sources de l’enseignement juif sont exemptes de sang. Il n’existe aucune secte juive qui pratique le meurtre rituel . Nous sommes prêts à prouver cette affirmation devant n’importe quel tribunal.
L’Union centrale des citoyens allemands de confession juive a également publié une déclaration protestant contre le mensonge rituel du meurtre.
Les tribunaux allemands ont déjà rendu des verdicts similaires, confirmant pratiquement les accusations de meurtre rituel et d’autres pratiques ignobles portées contre les Juifs, en acquittant les agitateurs poursuivis pour diffamation.
» L’accusation de meurtre rituel n’est pas une insulte aux Juifs, mais un fait historique , puisque de nombreuses églises en Allemagne, en Autriche et dans d’autres pays sont dédiées aux saints chrétiens qui ont été martyrisés à des fins rituelles par les ennemis de la foi chrétienne « , a déclaré l’Occident. Le tribunal de district de Berlin a acquitté en mai dernier le député Joseph Goebbels , leader hitlérien à Berlin, accusé d’avoir insulté les Juifs en publiant un article dans l’« Angriff », dont il est le rédacteur, dans lequel il affirmait que les Juifs commettaient des meurtres rituels.
Il n’a pas été établi, a déclaré le tribunal, que l’article constituait une insulte à la religion juive, puisqu’il ne parlait que des adeptes fanatiques de la religion juive, et non de tous ceux qui pratiquent le judaïsme .
Aucune punition pour avoir accusé des Juifs d’avoir commis des meurtres rituels n’a été également la décision de la Cour suprême allemande, le Reichsgericht de Leipzig, en février 1930, lorsqu’elle a annulé le verdict de culpabilité prononcé par le tribunal de district de Cologne contre le rédacteur en chef du journal hitlérien local. , le « Westdeutscher Beobachter », Josef Grohé , à qui il avait infligé une amende de 300 marks pour avoir écrit dans son journal que les Juifs, en obéissance au Talmud, pratiquaient le meurtre rituel, la fraude et le parjure et buvaient du sang chrétien pour se réconcilier avec le Dieu juif. .
Le Reichsgericht a estimé que Grohé ne pouvait pas être condamné, car il ne savait pas que l’allégation de meurtre rituel visait à attiser l’inimitié contre une certaine partie de la population .
Le Dr Theodor Wolf , le célèbre rédacteur en chef du Berliner Tageblatt , a récemment attiré l’attention sur la tendance des tribunaux allemands , y compris la Cour suprême, à acquitter les antisémites , se plaignant que les tribunaux allemands ont été dangereusement infectés par l’hitlérisme et ont été encouragés par la croissance de la force hitlérienne à permettre à leur antisémitisme dogmatique de l’emporter sur les principes de justice abstraite , introduisant un parti pris anti-juif certain dans leurs jugements.
La « Juedische Rundschau » s’est également plainte récemment qu’il n’est pas surprenant que les Juifs d’Allemagne soient autant exposés aux insultes et aux agressions physiques, quand on se souvient que les journaux hitlériens attisent depuis des années les instincts les plus bas de la foule contre les Juifs. , et les tribunaux ne prennent aucune mesure contre les agitateurs .
Il arrive constamment de nos jours, écrivait-il, que non seulement les tribunaux inférieurs, mais aussi les tribunaux les plus élevés, traitent les vandales hitlériens avec la plus grande douceur .
Ce laxisme face aux insultes proférées contre le judaïsme, la communauté juive et la communauté juive, et le refus d’accorder aux juifs le droit d’engager des poursuites contre ceux qui les calomnient et incitent le peuple, a conduit à convaincre les milieux hitlériens qu’ils scandalisent contre les Juifs peut être entreprise avec beaucoup moins de risques que contre d’autres personnes .
Nous avons donc des Juifs constamment attaqués, agressés dans les rues, des lieux de culte et des cimetières juifs profanés, un boycott prêché contre les hommes d’affaires juifs et tout ce qui a trait aux Juifs et au Judaïsme est diffamé et tout cela sans aucune réparation .
« Nous ne devons pas fermer les yeux sur le fait, dit-il, que l’idéologie hitlérienne s’est répandue en Allemagne dans une mesure qui aurait semblé incroyable il y a quelques années . Même les partis et les autorités qui ne sont pas anti-juifs se voient obligés de tenir compte du sentiment populaire anti-juif qui se répand dans tous les cercles de la population .
En l’absence de lois discriminatoires à l’égard des Juifs , nous, les Juifs, sommes aujourd’hui traités en pratique en Allemagne comme des citoyens de seconde zone .
Personne n’ose nommer des Juifs comme fonctionnaires . Les gens ont peur d’accorder des postes à des érudits juifs possédant les plus hautes qualifications et connaissances .
Les gens ont peur d’être soupçonnés d’être des protecteurs des Juifs. Les choses sont allées si loin que les gens ont peur d’être justes envers les Juifs . »
Il y a ici deux questions distinctes que les Juifs confondent trompeusement – si oui ou non leur Talmud incite et cautionne explicitement le meurtre juif de gentils – et si le meurtre rituel est, en fait, pratiqué par certains Juifs « fantastiques » en dehors de la connaissance du courant dominant . Communauté juive .
Le tribunal a statué à juste titre qu’il n’autoriserait pas le témoignage « partisan » d’un « expert » talmudique – un certain rabbin Dr Max Eschelbacher – . Les Juifs ont toujours une équipe de rabbins prêts à servir de « réparateurs » pour témoigner chaque fois que leur Talmud apparaît comme preuve dans l’affaire. un procès
Le travail de ces « réparateurs » rabbinques est de confondre les goyim – le plus souvent en citant une version expurgée du Talmud dont les passages « offensants » ont été supprimés – comme le « Talmud de Jérusalem » – tout en prétendant que le « Talmud de Babylone » ne le fait pas. Il n’existe pas – ou bien il n’est lu que par des Juifs « fanatiques » .
Tout observateur impartial peut trouver des passages dans la version inédite du Talmud qui encouragent clairement – et même ordonnent – aux Juifs de nuire, de tromper et d’assassiner les « gentils », tels que :
« Communiquer quoi que ce soit à un goyim sur nos relations religieuses équivaudrait au meurtre de tous les Juifs, car si les goyim savaient ce que nous leur enseignons, ils nous tueraient ouvertement. » (Libre David 37)
« Si un Juif est appelé à expliquer une partie quelconque des livres rabbiniques, il ne doit donner qu’une fausse explication. Quiconque violera cet ordre sera mis à mort. (Libre David 37)
« Même si Dieu a créé les non-Juifs, ils restent des animaux sous forme humaine. Il n’est pas convenable qu’un Juif soit servi par un animal. Il sera donc servi par des animaux sous forme humaine. (Midrasch Talpioth, p. 255, Varsovie 1855)
« Ne sauvez pas les goyim en danger de mort. » (Hilkkoth Akum XI)
« Les Juifs sont appelés des êtres humains, mais les non-Juifs ne sont pas des humains. Ce sont des bêtes. (Talmud : Baba Mezia, 114b)
« Si un Juif tue un goyim, il n’y aura pas de peine de mort. » (Sanhédrin 57a)
« Un goy (gentil) qui scrute la Loi (Talmud) est coupable de mort. » (Sanhédrin 59a)
« L’extermination des chrétiens est un sacrifice nécessaire. » (Zohar, Shemoth)
« Même les meilleurs des gentils devraient être tués. » (Aboda Zara 26b)
« Si un goyim tue un goyim ou un juif, il est responsable ; mais si un Juif tue un goyim, il n’est PAS responsable. (Tosefta. Aboda Zara B, 5)
« Il sera difficile de retirer les Gentils de leur position sans leur infliger beaucoup de souffrances. . . alors qu’aux jours du Messie, les Juifs sont destinés à manger à leur faim. (Sanhédrin 98b)
Le peuple juif est « le Messie ». (Talmud Ilia)
« Ne montrez aucune pitié aux goyim . » (Hikkoth Akum X1)
« Il faut et il faut prêter un faux serment lorsque les goyim demandent si nos livres contiennent quelque chose contre eux. Nous sommes alors tenus de déclarer sous serment qu’il n’existe rien de tel.» (Utszabot, Le Livre de Jore Dia, 17)
S’il est confronté à l’un de ces passages accablants et incriminants, un apologiste talmudique haussera simplement les épaules – et prétendra avec désinvolture qu’il s’agit simplement des « opinions » d’un rabbin qui ne représente pas « tous les Juifs » – comme si tous les Juifs pouvaient un jour s’entendre sur ce point. tout ce qui a à voir avec le Talmud – ou quoi commander dans un menu chinois.
Ce double standard égoïste est parfaitement illustré par la manière dont le fervent défenseur du « droit » à l’avortement – le sénateur juif américain Chuck Schumer – soutient également un groupe anti-avortement en Israël .
Et lorsqu’il s’agit d’accuser les Juifs de se livrer à des meurtres rituels de sang contre des gentils – en particulier de nos enfants – les Juifs affirmeront rapidement qu’ils ne connaissent personnellement aucun de ces Juifs qui se livrent à ce rituel satanique.
Par exemple, l’ancien grand rabbin Neofito de Moldavie a publié en 1843 un livre sensationnel en langue moldave sur les mystères secrets du sang juif.
En 1883, il fut traduit en italien sous le titre « Il sangue cristiano nei riti ebraici della moderna Sinagoga », ce qui rendit les Juifs très nerveux du monde entier.
« Ce secret du sang n’est pas connu de tous les Juifs , mais seulement des Chakam (médecins) ou des rabbins et des savants, qui portent donc le titre de « Conservateurs du mystère du sang ».
Ils le transmettent de bouche à oreille aux pères juifs . Ils le révèlent à leur tour à leurs fils qui considèrent cela comme un grand honneur. En même temps , ils menacent terriblement de punition si l’un d’eux trahit ce secret .
Au fil des siècles, l’Église catholique a fait preuve d’incohérence dans sa politique à l’égard du Talmud – et à l’égard des accusations de meurtres rituels.
« S’ils avaient le pouvoir de nous faire ce que nous sommes capables de leur faire, aucun d’entre nous ne vivrait une heure. Mais comme ils n’ont pas le pouvoir de le faire publiquement, ils restent dans leurs cœurs nos meurtriers quotidiens et nos ennemis sanguinaires.»
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Juifs capturés ont admis aux commandos SS lettons que non seulement les judéo-bolcheviks voulaient éliminer complètement tous les chrétiens européens, mais qu’ils se livraient également à des sacrifices rituels de sang d’enfants chrétiens – et ces bolcheviks athées n’étaient pas soi-disant des Juifs « religieux » – ou une sorte de secte secrète « fanatique ».
Adolf Hitler et les nationaux-socialistes ont tenté d’avertir l’Occident du « paradis » judéo-soviétique meurtrier qui les attendait si les Juifs et leurs sbires n’étaient pas complètement vaincus et bannis de nos nations chrétiennes.
« Si Juda nous battait, là où se trouvent des villes, des villages et des cultures florissantes, il ne resterait plus rien. C’est leur objectif – [Hitler] l’a dit des milliers de fois – et nous n’avons aucune raison d’en douter. Non, Juda veut avoir son Pourim … maintenant, ces gens sadiques veulent éradiquer l’Allemagne.
Il s’agit d’une bataille spirituelle continue contre un mal talmudique dont le tribunal allemand a reconnu qu’il était non seulement vrai – mais qu’il constituait une menace imminente pour nous tous :
« Je suis convaincu que j’agis en tant qu’agent de notre Créateur Tout-Puissant. En combattant les Juifs, je fais l’œuvre du Seigneur.
Selon un article de Libération en date du 14 octobre 1995, la Licra a réussi avec succès à faire retirer des passages de la Bible jugés « antisémites ».
Les éditeurs ont immédiatement coopéré, ne souhaitant pas subir le courroux de la justice.
Les éditeurs de la Bible des communautés chrétiennes ont supprimer du texte dix-neuf passages que la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) considérait comme « l’expression d’un antijudaïsme », a indiqué l’avocat de la Licra, précisant que cet accord « met un terme aux actions judiciaires » entreprises.
À l’époque, cette censure avait été l’aboutissement d’actions en justice engagées par la LICRA, alors présidée par Pierre Aïdenbaum, contre la société Médiaspaul et la Société biblique internationale (Socicai), éditeurs de la Bible des communautés chrétiennes.
Suite à un jugement en référé prononcé en avril 1995, deux phrases de cette édition annotée avaient d’abord été supprimées, puis, les éditeurs avaient finalement accepté la suppression définitive de dix neufs passages au total, mettant ainsi un terme aux actions judiciaires.
Depuis novembre 1995, en France, la Bible des communautés chrétiennes est donc amputée de dix-neuf passages considérés comme « l’expression d’un antijudaïsme » par la LICRA.